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c'est pas comme un métier où c'est pas dur C’est le quatre cent quatre vingt treizième fafiot! SAMEDI 8 SEPTEMBRE 2018 Ma dulcinée a investi dans la pierre ce matin. En effet, elle a acheté, pour une quinzaine de rôts, un tickson de la Mission Patrimoine parrainée par le lécheur de fions des têtes couillonnées, Stéphane Bern. Comme prévu, après avoir gratouillé l’immense papelard avec une truelle, elle a gagné zobi. Bref, mission accomplie, elle s’est faite Bernée. … Mais comme ma dulcinée a le coeur sur la main et qu’elle a une envie folle d’apporter sa bière à l’édifice patrimoinesque (tu la sens?), c’est avec fierté qu’elle s’est faite enflée d’un talbin de quinze raides car elle a contribué peut-être à la sauvegarde du Moulin à Poivre de Fouzydonc-sur-Laguiole ou de la Tour de Guêt de Baisons-la-Romaine. Enfin j’espère, car quand on ligote le tickson avec un microscope électronique, on lit que sur les 15 euros, seule la somme de 1,52 euro est versée pour la Mission Patrimoine! Fort de cette découverte, j’ai adressé toutes mes ficelles de caleçon à ma moitié tout en lui apprenant que sa contribution réelle à la sauvegarde du patrimoine permettra, à elle seule, d’acheter un joint neuf pour le bidet de la Comtesse de la Moulefarcy dans le château de Mézieux-en-Bourbay, non mais! Publié dans : déconno-news | le 8 septembre, 2018 | 16 Commentaires » -- C’est le quatre cent quatre vingt douzième fafiot Samedi 6 janvier 2017 (De relancer la machine) Rappelons les faits cher confrère: Il y a des lustres et des lampadaires, Marie Lapeyre a dépoté son gluant dans une étable à Bethléem au milieu d’un cheptel improbable un soir où, on ne sait pour quelle raison, tout le monde voulait se farcir une dinde. Comme Joseph Lapeyre n’y avait pas fourré la sienne (Lapeyre, pas la dinde), on a crié au miracle et le lardon suce nommé a été propulsé au rang de rondelle divine sans même passer les qualifs. Ayant appris la nouvelle Melch…ior, Gaspard et Balthazar trois potes de trocson habitués à faire rouler les bobs à l’heure du Berger du côté de Lorient, un peu désœuvrés car les pistes de skis étaient fermées à cause de la marée basse, ils ont, sans cul, férir chercher un blablapince pour aller rendre une visite à la côtelette. Ne voulant pas arriver les pognes vides, z’ont acheté trois conneries chez Alim et ont décarré dans la foulée avec leur valise cabine sous le bras. Dans les Saintes Ecritures, il y a de légères gourrances quant au trajet des fêlés. En effet, même dans l’édition Livre de poche ils ont laissés que les gaziers venaient de l’Orient alors que l’on sait très bien que la perle de l’Oxydant ne se situe pas chez les jaunes et que le Berger était blanc. D’où la carte fournie. Justement, sur cette carte, on constate que le trio n’est pas passé par la Galilée, ce qui prouve bien que l’école était finie depuis longtemps pour Sheila, non mais. J’vous passe les détails du trajet des artistes, car je n’ai pas que ça à foutre, et une fois qu’ils sont arrivés au gîte, z’ont pu se pointer chez les Lapeyre. Le lardon dauffait un peu le bœuf et l’âne, mais comme ils ont vu que la rondelle était aussi divine qu’une soupe de topinambours ils ont largué leurs cadeaux en jurant qu’on ne les y reprendrait plus. Pour la petite histoire, les présents étaient la myrrhe (de l’ORTF), l’or (Manaudou !) et l’encens (mon cul ?). Reluquant les daubes, le Messie s’est mis à aboyer comme une vache, il aurait nettement préféré avoir une girafe qui couine pour se polir les ratiches. Pour fêter l’évènement et tellement pliés par cette visite impromptue, les tauliers de la crèche leur ont dit : « Vous tombez bien !Z’allez bien rester un pneu avec nous, la daronne a perdu un chicot dans une brioche, on va se la partager et cui qui la récupèrera sera le roi des cons car on ne pourra pas lui rebrêler ». Pas rancuniers pour un sou, les poteaux ont boulotté le frichti et ont invité le varlopeur a une partie de boules pour lui faire embrasser Fanny. Publié dans : l'athée au logis | le 6 janvier, 2018 | 7 Commentaires » -- Une nouvelle de ch’val! va bientôt redémarrer….. Publié dans : déconno-news | le 25 juillet, 2017 | 4 Commentaires » -- C’est le quatre cent quatre vingt onzième fafiot! Mardi 15 Juin 2016 (de ne pas remettre les conneries à Plutarque ) Chers déconnobloguiteurs et chères déconnobloguiteuses, bonjour! Aujourd’hui, c’est le grand rendez-vous annuel pour les fit le z’oeuf que nous sommes! Pour la neuvième année consécutive, nous allons vous refiler une correction d’un des sujets ce dont au sujet duquel le bac Philo (dendron?) 2016. Nous commençons à avoir des annales de ch’val que Michou nous envie: http://franck77.unblog.fr/category/le-bac-philo/ ——————————————————— Ligotons un pneu les sujets de cette année : Sujets du bac philo 2016 : série L Nos convictions morales sont-elles fondées sur l’expérience ? Le désir est-il par nature illimité ? (Explication de texte) Un extrait de « Vérité et politique », d’Hannah Arendt Sujets du bac philo 2016 : série ES Savons-nous toujours ce que nous désirons ? Pourquoi avons-nous intérêt à étudier l’Histoire ? (Explication de texte) Extrait des Principes de la philosophie, de Descartes Sujets du bac philo 2016 : série S Travailler moins, est-ce vivre mieux ? Faut-il démontrer pour savoir ? (Explication de texte) Un extrait du Prince, de Machiavel Sujets du bac philo : série technologique Pour être juste, suffit-il d’obéir aux lois ? Pouvons-nous toujours justifier nos croyances ? (Explication de texte) Un extrait de Causeries de Merleau-Ponty. —————————————– Nous allons jeter notre dé velu sur : Le désir est-il par nature illimité ? ————————————————— Bon, ce n’est pas tout ça mais j’attaque le sujet à 10h39 ce qui me laisse pas lerche pour rendre une copie à l’heure de l’apéro. Comme nous l’avons appris, pour esgourdir un sujet de philo, il faut éplucher la question, puis exposer tranquillou une thèse, une synthèse, une antithèse, une mortaise et si on a du rabe, une foutaise. Tout d’abord, il faut savoir ce qu’est le désir. Et là, je vais dehors et déjà calmer les ardeurs des fêlés du mandrin en leur rappelant que nous sommes en philosophie et non en cours d’anatomie comparée. Donc le gazier qui veut faire une disserte complète sur la manière dont il se polit la bûche en reluquant les obus de sa crémière peut aller se brosser. Si, on chope une définition du désir dans les Roberts, on lit que le désir est l’action de désirer ce qui nous fait un gros tinet une belle jambe. Puis en deuxième définition, ça cause de l’appétit sexuel avec la photo de la bite à Dudulle. Donc pour aborder le probloque de façon philosophique, nous allons faire appel à Spinoza qui a plus fait pour la philo que Sud Rail pour le déplacement des bouzines. Spinoza, donc ,nous dit que « Le désir est l’essence de l’homme ». Et là, je dis Môssieu! En effet, bien qu’il ait un blaze à la con, je pense que Spinoza fait le tour de la question en deux coups les gros. Le désir, dans son acception philosophique pure est dure est bien l’essence de l’homme (et le comique qui demandera si c’est du sans plomb 98 aura directos ma main sur la tronche). Aristote, qui était un des dix slips de Platon, considérait la faculté désirante comme une force motrice, ce qui, pour son époque, avait de la gueule comme analyse. Bien sûr, dans les philosophes qui prennent le désir pour de la branlette de pignouf nous trouvons Epictète qui considérait que ne rien désirer était un pur bonheur car cela consiste à être libre. Pour sa défense, Epictète vivait dans les années 50 après le dépotage du chrysanthème de Jésus Christ, et qu’à cette époque, les objets du désir se comptaient sur les doigts d’une palourde. Justement, la notion d’objet du désir nous fournit une entrée en matière comme il se doigte ce dont au sujet duquel le caractère illimité ou non du zimbrec. L’homme est une bête de désir, que ce désir soit matériel, spirituel, physique, moral, ou autre. Il est difficile, au XXIème siècle, de